Pris dans le flux de circulation qui, au débouché du pont Mathilde, cerne l'église Saint-Paul, l'automobiliste qui quitte Rouen en direction d'Amfreville ou de Bonsecours ne peut ignorer l'imposant édifice, son portail, sa façade et ses deux flèches familières dans l'image de la ville ; il n'a guère le loisir, en revanche, de remarquer le pourtant remarquable bâtiment de briques architecturé qui s'inscrit immédiatement à la suite du petit square où se cache la trop discrète chapelle romane primitive.

la suite de l'article est à lire en pages 54 à 64 du Bulletin 2009 …